Un constat amer, que l’on peur faire ces jours ci en déambulant dans les rues de le ville de Tizi ouzou, chef lieu de Kabylie, en Algérie .On remarque des dizaines de travailleurs chinois, ramenés de très loin, pour accomplir un travail, pour lequel sans aucun doute, sommes nous trop fragile ou inexpérimentés, pour le faire.
Certes, les centaines de milliers de nos jeunes chômeurs ne pourront en aucune manière le faire. Alors ces jeunes chômeurs, oisifs, restent la, sous le soleil de ce mois de mars, sirotant leur petit café du matin entrain de scruter ces chinois qui s’activent laborieusement, dans leurs taches.
Vous savez ce que font ces chinois, ils sont entrain de refaire tous les trottoirs de Tizi ouzou, (actuellement, on refait autour du café de l’union.. pour ce qui connaissent).
Certes les chinois sont organisés dans leurs travail, ils sont bien répartis sur le chantier, chacun assurant une tache, ils ne parlent pas beaucoup, que dis je, ils ne parlent pas du tout ,ou de temps en temps .
Mais a ce point, refaire les trottoirs est devenue une tache si ardue, qu’on ne pourrait la réaliser par nous même ou alors voudrait on simplement inculquer a tous ces jeunes, les valeurs du travail chez les chinois..Parce à y voir de prés le tableau est frappant.
Des travailleurs chinois qui s’activent dans leur travail alors que des jeunes chômeurs, assis sont entrain de s’offrir le spectacle de ces travailleurs.